Quelque part.

J'arriva à un endroit qui m'étais inconnu. L'endroit me plaisaît beaucoup, encore plus que le cimetière que je venais de quitter. Voir tout ces hommes pauvres me rendait un peu joyeux disons. J'avais une faim de loup et dans ce village je dois dire que les magasins se fesaient rares. Assi sur un banc en train de me reposer un peu avant d'aller au marché qui était à un kilomètre d'où j'étais, un paysan misérable et qui avait l'aire si pauvre et si affamé passa avec une baguette de pain juste sous mon nez. Je la lui arracha des mains ce qui le fit trébucher.

- Non, pas ça je vous en supplie! C'est tout ce que j'ai pour me nourrir moi et ma famille!
- Ah, sale petite vermine!
- Mais ce pain est la ...
- Fermez la, gardez votre salive, comme je garde ce pain, c'est tout ce qui vous reste.
- Je vous en supplie cela doit faire un mois que j'économise pour avoir cette simple bouchée de pain.
- Une raison de plus pour vous le voler, pour moi la souffrance est une vertue. Alors souffrez.Comme je suis très genereux et pour ne pas vous faire trop souffrir, meme si j'adore faire souffrir les gens, je vais vous tuer. Cela abrègera peut-être votre peine.
-Mais vous naites pas sérrrrr ...

Avant qu'il est fini sa phrase je lui adressa un coup de glaive dans le ventre ce qui le lui dechira. Pendant que ce malheureux baignais dans son sang, une petite troupe de villageois se mit en direction du corps. Et deux petits enfants, un à peine âgé de sept ans et lautre d'envrion quatorze ans se mirent à fondre en larmes en criant:

- Papa, non papa, reveille-toi! Non tu ne peux pas être mort ! JE REFUSE DE LE CROIRE. Papa je t'en supplie reveille-toi !

Sur ce un grand sourire me vins aux lèvres. Puis, je partis à la recherche d'une boutique d'armes mais en vain.

Je marchais en direction de Kimaneh toujous un peu confus par ce qui s'était passé au château. Tout s'était passé si rapidement. Cette jeune femme qui tomba sur Sevastian, ensuite le sac de la jeune femme se brisa, une énorme quantité de joyaux s'éparpillant sur le sol et pour finir Sevastian me demandant de quitter et moi quittant simplement sans mots-dire. Je ne suis toujours pas sûr d'avoir tout suivis. Enfin, je venais à Kimaneh infomer à ma famille que j'aurais sûrement ce travail au château. De plus,je devais bien dormir à un endroit, avec le peu d'argent que j'avais, je n'aurais pu dormir dans un hotel de Astraem. Le chemin Astraem/Kimaneh était assez long mais j'avais le temps de m'y rendre avant le coucher du soleil. Durant le trajet, j'arriva à ne pas trop penser, ce qui était plutôt éttonant. Peu importe. J'étais enfin arrivé à Kimaneh et cela avant la noirceur, comme prévu. Première chose que je remarqua à mon arrivée, le regroupement de personnes au millieu du village. Je tenta de m'approcher, question de voir ce qui s'y passait.

- Nathaniel. Nathaniel!

C'était mes deux jeunes frères. Ils se jetèrent à mon cou, les larmes aux yeux.

- Puis-je savoir ce que vous avez?
- C'est père. Un homme, dit-il en retenant un sanglot. Un homme a tué père.

Les deux repartirent à pleurer de plus belles. Les larmes me montèrent également aux yeux. Je bouillais de rage contre cet abruti qui a décidé de s'en prendre à un misérable homme.

- Savez-vous qui a fait cette euh... Acte?

Ils pointèrent simplement dans un direction. Dans cette direction, il s'y trouvait un homme à la longue chevelure rousse qui, de loin, ne semblait pas plus gros que moi. Je m'avanca vers lui. D'un coup, je me sentais minuscule. Du haut de mes 5,10 pieds, je ne faisait sûrement pas le poid contre ce colosse d'au moins 6 pieds. Malgré tout, la colère, ou dirais-je plutôt la tristesse, me donnait un certain courage. Je continua ma route en direction du colosse. Même avec sa forte taile, ses cheveux roux lui donnait un air de cartoons. J'étais maintenant devant lui et sans penser, je le frappa au ventre de toute mes forces. J'aurais cru qu'il aurait au moins fait mine d'une petite douleur, mais rien. Il restait de glace. Je me sentais si stupide, lui, il était armé et moi, j'aurais peine à soulever une brique. Me voilà dans une fâcheuse situation. Il serait si simple pour lui de me tuer avec sa glaive, comme il avait probablement tuer père. Je voulais m'enfoncer dans le sol. À la place, je m'éffondras sur ce dernier. En pleurs. Encore plus vulnérable qu'une souris dans un piège à souris.

Pandant que je continuai ma route, un jeune homme de apeine quelque année de moins que moi s'avança et me donna un coup de poin dans le ventre. (Ce qui me fit pas grand chose). Il me regarda droit dans les yeux et se cola contre moi !

- Qui ête vous sale rat? Décolez-vous de sur moi petite vermine! Aargh! J'ai horreur de cela! Et au fait qui êtez-vous petit insignifiant? Si vous ne vous enlevez pas tout de suite, je serai dans l'obligation de vous tuer, comme cette homme incompétant là-bas .

Il eu autour de nous un long moment de silence... Le jeune homme me regarda droit dans les yeux et partit en sanglot... A et puis yen a marre de celui la ! Je fis un petit mouvement de recule se qui le fit tombé, alors je parti en le laissan pourir sur place a la recherche d'un adroit ou dormir cette nuit, car avec la temperature qu'il fesait je n'aurais pas pu dormir a la belle étoile.


[ suite au cimetière ]