Le château

- Vingt gardes en totalité. Lionel devrait être revenu d'ici dix minutes. Si on vout voit, c'est la guillotine qui vous attend.

Je retourna ma soir, saisissant mon cailler pour ensuite tremper ma plume dans l'encre. Eh bien quoi? Tant pis si elle restait là, l'air bredouille n'ayant rien à faire. Je ne l'ai jamais prié pour venir ici, encore moins pour littéralement me sauter dessus. Je voulus être gentil au départ, mais là, c'était trop.

- Il y a cinq minutes vous auriez eu l'occasion de partir retourner draguer un autre type. J'espère que vous en retiendrez un leçon au moins.

Ah si j'en retirerais une leçon! les mec mignon sont prude et quand t'es chiante tu peud rester chez le chatelain du coin. Ne voyant pas quoi faire je m'assie a coté le lui et j'essayai de lire par dessu son épaule, je m'en foutais de ses gribouilli je voulais juste l'emmerder!

Je ferma aussitôt mon cahier en prenant soin de le claquer, et rangea ma plume dans l'encrier. Je n'étais pas frustré, j'étais outré. Outré que l'on ait pu prendre un tel plaisir à m'humilier.

- Je peux savoir quel était le plaisir de me rabaisser si bas? la questionnai-je.

Oui, je m'étais lancé. Il fallait bien que je lui demandes après tout, sinon je me serais questionné pendant des heures sur ce point.

Oh! le petit ses lacher, il a osé dire ce qu'il pensais! J'était contente. je dit:

-ben on vas dire que vous étiez là au mauvais moment! C'est quoi vos truc dans votre petit cahier?

je lui fit mon plus beau sourire de poufiasse et je me lovai contre lui.

- Un journal, dis-je en me levant.

J'alla déposer mon cahier dans ma bibliothèque pour ensuite prendre deux coupes dans mon armoire. Je les déposai sur la table de chevet pour y verser du champagne. Je tendis l'une des coupes à mon "invitée".

- C'est plutôt vous qui étiez là au mauvais moment vous voulliez dire. Donc, c'est à ceci que ce résume votre vie, voler et sauter sur la première personne venue pour en faire une nouvelle conquête?

-ben oui ça résume assez bien ma vie! Vous ètes très perspicace!

Moi chieuse? naannn.

-Et être puceau à 21 ans c'est bien aussi?

En fait ce mec c'était mon exact oposé! je me tatais, j'le drogue ou je le drogue pas?

- Pour vous faire un bref résumé de ma vie, je déteste Lionel et ma mère est morte lorsque j'avais six. Jusqu'à mes dix-sept ans je suis resté enfermé, alors des relations, je n'en ai jamais eu aucunes. Ça vous va?

Elle prenait un plaisir fou à tenter de m'humilier et à me rabaisser on dirait.

Bon là je déprimai vraiment. Il me fallai un remontant! La drogue que je lui destinait, le la pris. Je lui dit :

- J'éspère que tu trouveras ton idéal moche et sensible!

ça y ai je partait, les couleurs se fusionnai les une dans les autres. Je m'assis et contempla avec unhe expression extasique ma main droite.

J'eus alors un rire quelque peu forcé.

- Sachez que je ne suis en aucun cas comme vous, et que ce que j'attend moi, c'est une vraie relation. Mais vous avez l'air de ne comprendre qu'à moitié ce que je vous dit.

Je ne savais plus quoi dire, plus quoi faire. Elle me paraissait être dans un état végétatif. Je me leva, tentant de trouver quoi m'occuper en attendant qu'elle reprenne ses esprits.

Je tombai sur le cot et me mit à rire comme une folle, rien ne m'avais paru aussi drôle! !Puis ce mec était tellement...Con!Je rie encore plus fort et je hurlai :

-Vous savez pas se qui se passe hein?

Puis les couleur disparurent et je me retrouvais dans un monde en noir et blanc.Des mauvais souvenir défilèrent dans ma tête, ceux que j'essaye d'oublier. La dose avait été trop fortes et j'était très mal d'un coup.Je me voyais à douze anbs avec u_n mec qui s'agitais au dessus de moi et me fesait mal.
Je me recrocvillai en boule dans un coin de la pièce.j'avais des sueurs froide et je n'avait plus conscience du monde extérieux; j'était coincé dans mes cauchemars passé et je me balancer d'avant en arrière en gémissant.

Je me rendis compte qu'elle n'avait pas l'air. Je me rassis à ses côtés, un peu inquiet de son état. Je pris sa tête entre ses deux mains, pour mettre son visage face au mien. Étrangement, elle n'avait plus vraiment l'air d'être là. Bon, il était temps d'utiliser mon don de télépathe pour voir ce qui n'allait pas chez elle.

Les images que je vis me firent alors frissonner. Le genre de choses qui sont horribles à voir, encore plus à vivre. Il m'était maintenant possible de comprendre la philosophie de cette fille.

- Hey, est-ce que ça va? dis-je pour essayer de la ramener les deux pieds sur terre.

Je me sentit explorer à l'interieur.je m'acrochais à ce lien et à cet voix pour revenir à moi.Je rejetais la tête en arrière et respira a grande goulé. aaa c'était fini! Je dit :

-Euh...Excusez moi, mauivais voyage.

Drole façon de s'excusez, il avait vu mes vission ,je le savait et là, j'était vraiment géné.je ne l'avait raconter à personne, je n'avait pas d'amies assez proche pour ça, en fait je n'avait pas d'amis du tout. Je pris conscience le la futilité de ma vie, je vivait dans la débauche et n'avait rien fait qui valait la peine d'être raconté au petit enfants que je n'aurai jamais.Je me relevai et je dit :

-je m'en vais maintenant.Désolé.

j'vais les jambe tremblante et je n'était pas en état de squater quoi que ce soi mais je ne pouvais rester. il pouvait être content ce petit il m'avait humilier et poussé dans mes dernier retranchement et je lui avait donné les armes pour ça.Mes yeux s'embuèrent de l'amers et je mapuyai sur le battant de la portes.

- Attendez! dis-je en la retenant. Vous n'êtes pas en état de partir.

Je la pris sur les épaules pour l'asseoir sur le fauteuil. Bon, je ne pouvais tout de même pas la laisser partir dans un tel état, malgré ce qu'elle a fait. J'étais assez troublé, je ne savais que faire, quoi lui dire. Je conaissais sa peine, mais je ne pouvais malheureusement rien faire pour la consoler. Je m'assis à côté d'elle et entoura ses épaules de mon bras pour tenter de la réconforter.

- De plus, si vous vous faites prendre, ils vous tueront.

je pensais que le vanner était mal venu en la situation.puis je n'en avais pas le courage.
je voulais pas que ce silence dure.je me levais et je marchais dans la pièce en me frottant les épaules, je tremblais. ùais la quelqu'un frappa à la porte.

Mince, on cogna à la porte.

- Planque-toi! lui dis-je.

Je me pressa d'aller à la porte et de l'ouvrir qu'un peu.

- Monsieur, nous avons trouvé une robe dans le hall, et nous voulions savoir si vous saviez d'où elle venait.

Moment de réflection. Qu'est-ce que je pouvais bien lui répondre à cet imbécil moi?

- Ah, oui, c'est à moi! ajoutai-je en la prenant. Enfin eum... C'est une robe qui appartenait à ma mère. J'ai dû l'échaper en transportant une pile tout à l'heure. Au revoir!

Je m'empressa de fermer la porte. Bon, j'avais l'air totalement débile, mais il fallait bien que je trouves une excuse. Je déposa la robe sur mon lit.

Après mettre fait déplacer avec ménagement (hum) j'écoutais la conversation en rigolant.Le garde a dû penser que ce mec était travelo la nuit ou je sais pas quoi.
Puis j'ai fait une conneries, j'ai éternué*.

*meuh nan la dame elle en fait pas exprès de se mettre dans la merde.

Le garde ouvrit la porte après avoir entendu un éternuement assez féminin.

- Excusez-moi monsieur mais quel était ce bruit?
- Eum... rien du tout! En fait euh... j'ai simplement éternuer. Oui, c'est ça, je crois avoir attrapé un rhume.
- Pardonnez-moi mais ce bruit me semblait plus féminin...
- Tennez-vous vraiment à ce que je contacte Lionel?
- Non monsieur. Au revoir, monsieur.

Le garde reparti enfin.

- Ah mais quel connard, soupirai-je en me saisissant le front.

A mais quel soirée de merde! Je fouillait dans les placard pour trouver de quoi boire, histoire de m'enlevers ce gout pourri de la bouche.

-Ooo de la tequila! dit je d'une voix rauqe.

Bon allez je me sert.je bois à la bouteille, je bois beaucoup.je bois trop. je liquide la bouteille rapidement, l'alcool fort me brule les entrailles.

-On baise connard?

Ah ben ça on pouvais dire que j'étais directe et lunatique comme fille!

Bon, j'aurais bien voulu l'en empêcher mais il était trop tard. Alors là, je devais rester calme. Je pris la bouteille et la déposa. Je la pris par le poignée et l'assis à nouveau, sur mon lit cette fois, espérant qu'elle puisse tenir en place.

- Vous ne pourriez pas vous calmer un peu?

Ce n'était peut-être pas le phrase la plus douce que je venais de lui balancer, mais je n'avais rien trouvé d'autre à dire. C'était elle, qui commençait à me saouler. Enfin, pour détendre l'atmosphère j'ajouta:

- D'ailleurs, vous ne m'avez toujours pas dit comment vous vous appelliez.

-J'm'appelle Moxie.beuh...

J'avais pas été tendre avec lui, je m'était droguée, puis j'ai pleurer dans ses bras, puis je picole sous son nez puis j'essaye de le violer. Pauvre gars.Mais pourquoi je picolais au faites?

-je bois pour oublier...

Pour oublier quoi? Ma vie de merde sans aucun interêt?

-Que je boie trop!

Bon, là elle se mettait à parler toute seule. Déçidemment, elle tolérait mal l'alcool en grande quantité.

- Écoutez, Moxie, l'alcool ne vous mènera jamais à rien. Pourquoi ne pas déçider d'enfin vous prendre en main? Vous méritez une meilleure vie, j'en suis certain. Tout ne tourne pas autour de l'alcolisme, du vol et du sexe bon sens! Ressaisissez-vous donc, pour l'amour!

Ouh là, j'admets que j'y avais été un peu fort. Mais c'était sorti tout seul.

Je le regardais avec des yeux vitreux.C'est sur que j'avais pas réagies comme une adulte mature et intelligente, pire je m'était donné en spectacle.

-Me prendre en main pour faire quoi coco?

- Avoir une vie.

Je n'avais guerre l'intention de la blesser, au contraire, tout ce que je voulais c'était lui venir en aide.

- Vous êtes une jeune femme ravissante, si vous le vouliez vous pourriez avoir un vrai travail, un époux, une famille... Bref, vous méritez mieux que cette pitoyable vie.

-Un époux?Je pourrais jamias.Faut être fidèle c'est ça?naaannnn!Pis un travaille, faut bosser c'est naze.

Bon j'avoue j'avaie une notion vague de l'éthique, de la politessse et d'une vie réglé!

-Laisse tomber c'est une cause perdu pour moi!

Comme j'étais encore debout, j'allai également m'asseoir.

- Ainsi vous souhaitez continuer à vivre de la sorte? À rester seule toute votre vie, sans amis? À voler pour pouvoir vivre?

Je fis une pause avant d'ajouter:

- Ne souhaitez-vous donc pas de partager un jour votre vie avec quelqu'un? De vivre l'amour au moins une fois?